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Abréviations |
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Accident : événement causant des dommages corporels ou matériels. Rupture d'équilibre dans une situation donnée. Il est le résultat d'au moins un des 5 éléments suivants : 1 - méconnaissance des sources de danger 2 - inobservation ou inadéquation des règles 3 - dysfonctionnement technique (panne, rupture, ...) 4 - dysfonctionnement humain opératoire 5 - concours de circonstances qui fait survenir un ou plusieurs éléments (1 à 4 ci-dessus)
Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie (ADEME) AM (Arrêté Ministériel du 10 mai 2000). Seuil AM : seuil bas de la directive ICPE. Analyse des modes de défaillance, de leurs effets et de leur criticité (AMDEC) : étude prospective, destinée à analyser les sources de dysfonctionnement d’un processus ou d’un système. APSAD (Assemblée Plénière des Sociétés d'Assurances et de Dommages) Arbre des causes : analyse clinique rétrospective a posteriori, visant à rechercher les liens de dépendance logique entre les variations antécédentes d’un accident. Assertivité : faire valoir son point de vue tout en conservant des relations positives avec son interlocuteur, atteindre son objectif par la négociation. L'assertiveness se propose de mettre l'individu en mesure d'exprimer sa personnalité tout en continuant d'être accepté socialement sans crainte de susciter l'hostilité de son environnement. Association Française de Normalisation (AFNOR) : organisme de normalisation chargé de l'approbation des projets de norme pour publication en tant que norme nationale. Autorisation avec servitude (Seuil AS) : seuil haut de la directive ICPE. Les ICPE "AS" sont soumises à autorisation avec servitudes d'utilité publique lorsque l'implantation concerne une installation nouvelle sur site nouveau. La liste de ces installations et les seuils applicables seront définis par décret. Bilan : document comptable synthétisant à une date donnée, l’origine des ressources financières d’une entreprise (passif) et comment sont employées celles-ci (actifs). Bioaccumulation : le terme de "bioaccumulation" désigne la somme des absorptions d'un polluant par voie directe et alimentaire par les espèces animales aquatiques ou terrestres. Il convient cependant de noter que, chez les animaux terrestres, le terme de bioaccumulation se réfère, en règle très générale, à l'absorption d'un polluant par voie alimentaire, car il est très rare qu'un contaminant du sol donne simultanément une inhalation significative dans un biotope donné. Bioconcentration : on désigne par le terme de "bioconcentration" l'accroissement direct de concentration d'un polluant lorsqu'il passe de l'eau dans un organisme aquatique. Cette notion peut être étendue aux organismes terrestres: passage de l'air et/ou du sol dans les plantes par pénétration transfoliaire et/ou transradiculaire, passage direct de l'air dans les espèces animales par inhalation. Biodiversité : caractérise la multiplicité des espèces, toutes catégories confondues. Ce terme est apparu au grand public au cours du "Sommet de la Terre" de Rio de Janeiro (1992) : traduction quasi littérale du terme anglais "biodiversity", il désigne l'objet de l'accord passé entre les Etats signataires pour préserver la diversité biologique. Biomarqueur : paramètre mesuré au niveau moléculaire, cellulaire ou fonctionnel sur des individus issus d'une population. Il indique soit que les individus ont été exposés à des polluants ou des toxiques, soit que l'individu développe des effets pathologiques à plus ou moins long terme. Différents types de biomarqueurs : biomarqueurs d'exposition, d'effets, de sensibilité individuelle. Biomagnification : phénomène de transfert et d'amplification biologique de la pollution à l'intérieur des biocénoses contaminées, augmentation des concentrations de contaminants au cours des transferts trophiques (TTC > 1). Biovigilance : suivi biologique des écosystèmes dans leur globalité. La biovigilance repose sur des indicateurs in situ : indicateurs biologiques (évolutions en terme de points finaux), espèces sentinelles (servent à identifier des dangers possibles pour les autres animaux ou pour l'homme). Cadre de référence : concept utilisé en communication. Le cadre de référence regroupe la culture, la religion, les croyances, la famille, l'éducation, la catégorie socioprofessionnelle, la somme des connaissances et des compétences apprises, les expériences (vie professionnelle et vie privée).
Capacité d’autofinancement : mesure, une fois comptabilisées, toutes les opérations relatives à l’exploitation, au coût du financement et au paiement de l’impôt, le vrai surplus monétaire généré par l’entreprise. Carbone Organique Total (COT): représente la quantité totale des matières organiques exprimée en carbone (mg/l) contenue dans la solution. Chiffre d’affaire : ensemble de la production vendue décomposée en volume (quantité vendue), prix (inflation, change) et changement de périmètre. Coefficient de Transfert Trophique (TTC). Rapport des concentrations de contaminants entre deux niveaux trophiques. Transfert trophique : passage des contaminants entre deux niveaux trophiques. Comité Départemental d'Hygiène (CDH) Comité Européen de Normalisation (CEN)
Commission Centrale de Sécurité (CCS) : commission présidée par le ministre de l'intérieur. Commission Consultative Départementale de Sécurité et d'Accessibilité (CCDSA) : commission présidée par le préfet et regroupant 10 représentants de l'Etat. La CCDSA donne des conseils en matière de sécurité civile et de sécurité contre les risques d'incendie. Compost : teneur en matières organiques : toute la matière organique contenue dans un compost ne s'intègre pas à l'humus. La maturation du compost est importante (la structure chimique de la matière organique). En général, la mesure du rapport carbone / azote indique le degré de maturation du compost. Depuis peu de temps, la notion d'indice de stabilité biologique ou de composition biologique vient compléter cette approche nécessaire de la matière organique. Compte de résultat : ensemble des flux qui modifient le patrimoine de l’entreprise pendant une période donnée. (produit = richesse , charge = destruction). Concentrations Environnementales Prévisibles (PEC). PEC air, PEC eau de surface, PEC eau souterraine, PEC sol. Caractérisation de l'exposition Conductivité : Mesure la quantité totale des sels dissous (la conductivité augmente avec la quantité de sels minéraux dissous). Conformité Européenne (CE) Congruence : cohérence ou complémentarité entre fond et forme (dire ce qu’on fait et faire ce qu’on dit). Cycle biogéochimique : décrit les flux et la répartition d'un élément chimique entre les différents milieux (air, eaux, sols) et l'impact sur les stocks correspondants, l'élément chimique pouvant être sous différentes formes (spéciation). L'activité humaine est une cause aujourd'hui non négligeable de modification du fonctionnement des cycles biogéochimiques, en particulier pour le cycle du carbone avec le rejet dans l'atmosphère de quantités importantes de CO2 à partir du pétrole (longues chaînes hydrocarbonées). Cycle PDCA : Plan (prévoir), do (faire), check (vérifier) et action (établir). Danger : Déchet : tout résidu d'un processus de production, de transformation ou d'utilisation, toute substance, matériau, produit ou plus généralement tout bien meuble abandonné ou que son détenteur destine à l'abandon. Déchet Industriel Banal (DIB) : tout déchet non dangereux détenu par une entité qui n'est pas un ménage. Ils sont assimilés aux déchets ménagers par similitude de traitement. Déchets Toxiques en Quantités Dispersées (DTQD) : déchets solides ou liquides détenus par les entreprises, les établissements d'enseignement, les ménages : déchets banals souillés, résidus de peinture, emballages de produits sanitaires ou d'entretien, huiles, acides, bases, liquides de refroidissement, solvants, piles et accumulateurs, tubes fluorescents, … Difficultés : petites quantités, grand nombre de détenteurs. Danger : risque de pollution de l'eau et des filières de traitement. Déchet ultime : déchet résultant ou non du traitement d'un déchet, qui n'est pas susceptible d'être traité dans les conditions techniques et économiques du moment, notamment par extraction de la part valorisable ou par réduction de son caractère polluant ou dangereux.
Déclaration d'Utilité Publique (DUP) : une Déclaration d'Utilité Publique est nécessaire quand les travaux envisagés par la collectivité doivent être réalisés sur un terrain privé. Dégagement : on entend par dégagements les sorties, les sorties de secours (accessibles seulement en cas de problèmes), les portes, les couloirs, les circulations, les escaliers, etc. On distingue : Demande Biologique en Oxygène (DBO5) : mesure de la pollution nutritive d’une eau . Représente la consommation en oxygène (mg/l) des microorganismes, pour oxyder les matières organiques biodégradables, et permet d'identifier l'assimilation d'une partie des matières organiques par les bactéries en milieu naturel. Demande Chimique en Oxygène (DCO): mesure de la pollution organique. Représente la quantité d'oxygène (mg/l) nécessaire pour oxyder toute la matière oxydable contenue dans un échantillon d'eau. Cette oxydation est effectuée avec un oxydant puissant, comme le bichromate de potassium. La DCO est une mesure non seulement des matières organiques oxydables chimiquement contenues, mais aussi des substances non organiques comme Fe2+, NO2-, H2S. Les chlorures doivent être masqués par addition de sulfate mercurique. Dette : représente l’argent mis à disposition par les créanciers de l’entreprise. On distingue la dette d’exploitation (crédit fournisseur dû aux délais de règlement ), la dette fiscale et sociale (délai des règlements administratifs, impôts, cotisations, taxes, … ) et la dette financière (prêt consentis par les établissements de crédits). Développement durable : vise à satisfaire les besoins de développement et la santé des générations présentes sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs Dioxines : Deux familles proches : PCDD (polychlorodibenzoparadioxines) et PCDF (polychlorodibenzofuranes). Solides à point de fusion élevé, faiblement solubles dans l'eau (propriétés lipophiles), grande stabilité (1/2 vie de la 2,3,7,8-TCDD = 7 ans dans l'organisme).
Direction Régionale de l'Environnement (DIREN): sous l'autorité du préfet de région, elles oeuvrent à la prise en compte de l'environnement dans les divers programmes d'aménagement, dans les contrats de plan et dans les programmes européens (suivi plus particulièrement du volet Nature du programme LIFE).
Direction Régionale de l'Industrie, de la Recherche et de l'Environnement (DRIRE): interlocuteurs permanents des entreprises industrielles.
Disponibilité : aptitude d’une entité à accomplir une fonction requise dans des conditions données, à un instant donné ou pendant un intervalle de temps donné, en supposant que la fourniture des moyens extérieurs soit assurée. Ecotoxicologie : étude du devenir des polluants et de leurs effets sur l'homme, l'environnement de l'homme, l'homme et son environnement. Compréhension des mécanismes qui conduisent aux impacts sur la santé de l'homme et de l'environnement. Effet de serre. Les gaz à effet de serre ont le même rôle que les vitres d'une serre de jardin : Electrodialyse : technique semi-membranaire. Elle permet sous l'influence d'un champ électrique d'extraire les espèces ionisées minérales ou organiques par migration à travers les membranes. Elément Important Pour la Sécurité (IPS). A la fin d'une étude de dangers, il faut veiller à ce qu'il y ait le listing des IPS. Elimination des déchets. L'élimination des déchets comporte les opérations de collecte, transport, stockage, tri et traitements nécessaires à la récupération des éléments et matériaux réutilisables ou de l'énergie, ainsi qu'au dépôt ou au rejet dans le milieu naturel de tous autres produits dans des conditions propres à éviter des nuisances (effets nocifs sur le sol, la flore et la faune, à dégrader les sites ou les paysages, à polluer l'air ou les eaux, à engendrer des bruits et des odeurs et d'une façon générale à porter atteinte à la santé de l'homme et de l'environnement). Emetteur : dans un processus de communication, le message se crée dans l’esprit de l’émetteur qui doit coder dans un langage qui reflète le sens de sa pensée. Emploi : ensemble des charges d’exploitation contractées et non consommées ou vendues (stocks) et par l’ensemble des ventes non encore payées (en cours clients) Enquête publique : procédure dont l'objet est d'informer le public et de recueillir, préalablement à certaines décisions ou à certaines opérations, ses appréciations, suggestions et contre-propositions, afin de permettre à l'autorité compétente de disposer de tous les éléments nécessaires à son information ; Environnement : Dans le sens des Sciences de la nature c'est l'ensemble des données et des équilibres qui conditionnent la vie d'un groupe biologique; dans le sens de l'urbanisme et de l'architecture, c'est une zone de contact entre un bâti et le milieu ambiant, naturel ou artificiel ; Epidémiologie : étude de la dynamique des phénomènes de santé dans les populations pour identifier les facteurs déterminants et leur rôle afin d’agir efficacement : émettre une hypothèse et donner une interprétation causale à partir d'observations, examiner la plausibilité de l'hypothèse avec des informations disponibles. L'épidémiologie intègre la population. Etablissement Recevant du Public (ERP). Constituent des ERP, tous bâtiments, locaux et enceintes dans lesquels les personnes sont admises soit librement soit moyennant une rétribution quelconque ou dans lesquels sont tenues des réunions ouvertes à tout venant ou sur invitation payante ou non. Etablissement Recevant des Travailleurs (ERT) Etiologie : science des causes Etude analytique : étude prenant en compte un type de relation de caractère déterministe entre les faits recueillis. Ces faits ne sont pas seulement situés, mais organisés selon les possibilités de dépendance ou d’indépendance pouvant être envisagées entre eux. Etude clinique : toute étude consistant à détailler un ou plusieurs cas d’événements non souhaités, afin d’en dégager des enseignements sur les circonstances et modalités de réalisation de ces cas. Etude descriptive : lorsque la relation entre des faits n’est que de simple co-existence ou de situation spatio-temporelle de ces faits les uns par rapport aux autres. Etude d'impact : outils d’aide à la décision pour les autorités, permettant de prévoir les conséquences d’une installation sur l’environnement ; Etude prospective : démarche partant d’une source de dysfonctionnement et tentant de retrouver les dysfonctionnements ou défaillances successifs aboutissant à un accident. Etude rétrospective : étude cherchant à retrouver des faits ayant précédés un accident en prenant l’événement non souhaité comme point de départ. Etude statistique : toute étude comprenant l’examen et le traitement de données numériques relatives à un type d’événement non souhaité afin d’améliorer la connaissance du risque. Feedback : La communication se définit comme un flux d'informations qui génère des feed-back : c'est un ensemble d'interactions
Fiabilité : aptitude d’une entité à accomplir une fonction requise dans des conditions données et pendant un intervalle de temps donné. Flottation : procédé physique d'épuration des eaux usées (industrielles): consiste à insuffler de l'air pour faire remonter à la surface les solides ou les matières colloïdales. Méthodologies : mise en place d'agents moussants, d'agents collecteurs, de produits modificateurs. Fonds Social Européen (FSE) Fraction étiologique du risque : grandeur tenant compte à la fois de la nature du danger et de l’importance de l’exposition (qui doit être mesurée). Elle mesure le nombre de cas évitables si l’exposition est supprimée. Hazard Analysis Critical Control Point (HACCP) Travail sur les risques. 7 principes : Immeuble de Grande Hauteur (IGH) : tous bâtiments dont le plancher bas du dernier niveau est situé par rapport au niveau du sol le plus haut utilisable par les engins des services publics de lutte contre l'incendie : à plus de 50 m pour les immeubles d'habitation et à plus de 28 m pour les autres immeubles. Incidence : nombre de nouveaux cas au sein d’une population pendant un temps donné. Mesure de flux, de débit, de force épidémique. Indicateur biologique : espèces ou associations d'espèces capables par leur comportement général (disparition, augmentation ou variation de densité) de rendre compte de l'évolution générale d'un milieu. Installations Classées Pour l'Environnement (ICPE)
Institut Français de l'Environnement (IFEN) : service statistique du ministère chargé de l'environnement, Point focal de l'agence européenne pour l'environnement.
Institut National de l'Environnement Industriel et des Risques (INERIS) : établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC), placé sous la tutelle du ministère de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement. Domaines d'activité : Instrument Financier pour l’Environnement (LIFE) Intercommunalité : système de gestion synergique et souvent contractuel de problèmes à enjeux supracommunaux, par exemple la gestion de rivières ou la collecte et le traitement des déchets domestiques ; International Standard Organisation (ISO) Laboratoire Central Surveillance Qualité Air (LCSQA). Missions : assurance qualité métrologique et développement protocoles mesure qualité de l'air, mise à disposition de gaz étalons, évaluation analyseurs sur banc d'essai, procédure d'assurance qualité, traitement données et modélisation. Limite Maximale de Résidus (LMR) : concentration en résidus la plus élevée légalement acceptable pour que les denrées restent commercialisables. Elle s'exprime en mg/kg (ou en ppm). Il existe pour chaque produit des LMR nationales et des LMR internationales qui sont utilisées lors des échanges internationaux de denrées. Les LMR sont fixées en tenant compte de la DJA (Dose Journalière Acceptable), du panier de la ménagère et des résidus retrouvés dans les conditions de la bonne pratique agricole. Maillon faible : selon la théorie du maillon faible, la fiabilité d’un système est déterminée par l’élément le moins fiable. Cette théorie a été le point de départ du développement de la Sûreté de fonctionnement : il s’agit alors d’augmenter la fiabilité du maillon le plus faible.
Maintenabilité : aptitude d’une entité à être maintenue ou rétablie dans un état de fonctionnement donné dans lequel elle peut accomplir sa mission (fonction requise dans des conditions données, avec des procédures et des moyens donnés). Marge brute : bénéfice net + dotation aux amortissement + variation des provisions pour dépréciation d’actifs (immobilisations et provisions pour risques et charges à caractère de réserve) Matières en suspension (MES). Mesure de la pollution physique d'une eau : quantité de matières non dissoutes (mg/l). Ces matières augmentent la turbidité des eaux, limitent la pénétration de la lumière et peuvent provoquer des dépôts plus ou moins nocifs. MéthOde DE Caractérisation des Ordures Ménagères (MODECOM). Approche mise au point par l'ADEME : collecte d'information sur l'habitat et les activités diverses, échantillonnage sur déchets. Les ordures ménagères constitue un mélange complexe : les ménages (déchets de la consommation, déchets de l'entretien des espaces verts privés) et les diverses activités (commerces, artisans, PMI, écoles, administrations, restauration collective, …). Méthode DESC : Décrire clairement et précisément le comportement ou les faits que vous voulez critiquer - Exprimer vos réactions et écouter les réactions de l'autre - Suggérer des solutions et préciser le changement que vous souhaitez - Conséquences positives du changement pour les deux parties. Mission Interministérielle des Services de l'Eau (MISE) : structure de coordination départementale des services de l'Etat (DDASS, DDAF, DDE, ...) qui vise à améliorer la lisibilité, l'efficacité et la cohérence de l'action administrative, principalement de l'exercice de la police de l'eau en matière de gestion de l'eau et des milieux aquatiques Mode de défaillance : effet par lequel une défaillance est observée. Un mode exprime ce que l'on constate sur un matériel. Norme : engagement unilatéral volontaire d’une personne pour pratiquer les règles qu’elle énonce. Nouvelle approche : elle consiste à renvoyer à des normes, en priorité européennes et si nécessaire nationales, à titre transitoire ; Objectif pédagogique : indique de façon détaillée les aptitudes que l’apprenant va acquérir en cours du cycle de formation et présente ce qu’il sera capable de faire sur le lieu de formation le dernier jour de son stage. Parc national : établissement public chargé de protéger des territoires, d'y conduire des travaux de recherche, d'y réglementer les activités et d'y accueillir le public Parc Naturel Régional (PNR) Patrimoine commun : les espaces, ressources et milieux naturels, les sites et paysages, les espèces animales et végétales, la diversité et les équilibres biologiques auxquels ils participent font partie du patrimoine commun de la nation ; Phytotoxicité : propriété d'une substance ou d'une préparation provoquant chez une plante des altérations passagères ou durables. Plan de formation : logique d’enchaînement des 7 étapes suivantes : plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) Plan d'Occupation des Sols (POS) : voir Plan Local d'Urbanisme Plan d'Opérations Internes (POI). Le POI est établi par l'exploitant et a pour but d'organiser la lutte contre le sinistre en définissant les mesures d'organisation, les méthodes d'intervention et les moyens nécessaires à mettre en œuvre pour protéger le personnel, les populations et l'environnement. Plan Local d'Urbanisme (PLU) Plan Particulier d'Intervention (PPI). Le PPI est le plan de secours externe établi par les pouvoirs publics et déclenché en complément au POI lorsque l'accident sort des limites du site. Polluant : toute substance naturelle ou d'origine strictement anthropogénique, que l'homme introduit dans un biotope donné dont elle était absente ou encore dont il modifie ou augmente la teneur (dans l'eau, l'air ou les sols selon le biotope) lorsqu'elle y est spontanément présente. Pollution atmosphérique : introduction par l'homme, directement ou indirectement, dans l'atmosphère et les espaces clos, de substances ayant des conséquences préjudiciables de nature à mettre en danger la santé humaine, à nuire aux ressources biologiques et aux écosystèmes, à influer sur les changements climatiques, à détériorer les biens matériels, à provoquer des nuisances olfactives excessives. Politique de Prévention des Accidents Majeurs (PPAM). Engagement de la direction sur la base des accidents envisagés dans les études de dangers en vue de prévenir les accidents majeurs et de limiter leurs conséquences pour l'homme et l'environnement. Elle reprend le contenu du SMS, elle est obligatoire et elle figure dans les études de dangers. Pression anthropique Le fonctionnement des cycles biogéochimiques donc l'état de nature est actuellement très dépendant des activités humaines. Bilan entropie – néguentropie. La pression anthropique est la somme d'innombrables évènements individuels et de faibles ampleurs (sauf catastrophes). Son ampleur crée une situation historiquement nouvelle : finitude de la planète, dislocation de l'espace-temps. Le déchet est le vecteur de cette pression anthropique. Prévalence : nombre total de cas au sein d’une population à un instant donné. Mesure de stock, de réservoir, de bilan entrée/sortie. Principe de participation : chacun doit avoir accès aux informations relatives à l'environnement, y compris celles relatives aux substances et activités dangereuses Principe de précaution : l'absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doivent pas retarder l'adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l'environnement à un coût économiquement acceptable Principe de prévention : la prévention des atteintes à l’environnement se font par priorité à la source, en utilisant les meilleurs techniques disponibles à un coût économiquement acceptable Principe de protection : correspond à la notion de sauvegarde du patrimoine commun Principe pollueur-payeur : les frais résultant des mesures de prévention, de réduction de la pollution et de la lutte contre celle-ci doivent être supportés par le pollueur Programme d'Intérêt Général (PIG) Projet : démarche spécifique qui permet de structurer méthodiquement et progressivement une réalité à venir. Proxémie : Proximité et promiscuité. Traduit le fait que l'animateur ne doit pas avoir une attitude abusive. La proxémie peut être une fonction de régulation d’un groupe. Qualité : aptitude d’un produit à satisfaire les besoins de ses utilisateurs. Les cinq notions fondamentales sont les suivantes : mission, performance, sécurité, coût de possession, délai d’obtention. Réaction au feu C'est l'aliment qui pourrait être apporté au feu et à son développement. On s'intéresse au revêtement et au mobilier. Classement des matériaux : Récepteur : entité sensée comprendre et décoder le message en provenance de l’émetteur. Reformulation : relance, synthèse visant à valider la compréhension d’un message. Rentabilité : la rentabilité économique et la rentabilité des capitaux propres qui traduisent l’impact de la structure financière. La rentabilité «économique est la rentabilité comptable de l’entreprise. La rentabilité de l’investissement est le taux exigé d’un investissement et ne dépend que du risque de l’actif économique Réserves naturelles : Des parties du territoire d'une ou de plusieurs communes peuvent être classées en réserve naturelle lorsque la conservation de la faune, de la flore, du sol, des eaux, des gisements de minéraux et de fossiles et, en général, du milieu naturel présente une importance particulière ou qu'il convient de les soustraire à toute intervention artificielle susceptible de les dégrader Résistance au feu Temps pendant lequel un matériau joue le rôle qui lui est dévolue, ceci malgré l'action d'un incendie. En terme de classification, on considère 4 critères : Risque : Mesure du niveau de danger caractérisant un accident potentiel. Cette mesure s'exprime par : Risque attribuable : rapport entre le taux d’incidence d’une certaine atteinte à la santé chez les personnes exposées au facteur, et le même taux chez les non-exposés. Indique la part de problème attribuable à un facteur de risque dans la population exposée. Risque relatif : rapport entre le taux d’incidence d’une certaine atteinte à la santé chez les personnes exposées au facteur, et le même taux chez les non-exposés. Permet de mesurer l’importance du « sur-risque » lié au facteur : la force pathogène (rôle causal) d’un facteur. Schéma Collectif d'Organisation du Territoire (SCOT) Schéma Départemental d'Analyse et de Couverture des Risques (SDACR) Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) Schéma Directeur d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) Secrétariat Général de Coordination Interministérielle (SGCI)
Sécurité : aptitude d’une entité à éviter de faire apparaître, dans des conditions données, des événements critiques ou catastrophiques pour les hommes, les équipements ou les biens. Solvabilité : couverture du risque de dépréciation des actifs pour couvrir le montant de l’endettement global de l’entreprise (capitaux propres / total bilan), fait de pouvoir payer ses créanciers. La mesure de la solvabilité d’une entreprise se fait par comparaison de l’actif (ensemble des biens d’une entreprise) et du passif (ensemble des dettes d’une société). Subsidiarité : remplacement de l’autorité locale par l’autorité européenne Système de Gestion de la Sécurité (SGS). Il concerne uniquement les accidents majeurs et il est obligatoire. Ensemble des dispositions mises en œuvre par l'exploitant au niveau de l'établissement relatives à l'organisation, aux fonctions, aux produits et aux ressources de tout ordre ayant pour objet la prévention et le traitement des accidents majeurs. Système de Management de la Sécurité (SMS). C'est un système de gestion de la sécurité qui définit l'organisation, les fonctions, les procédures et les ressources qui permettent de déterminer et de mettre en œuvre la politique de prévention des accidents majeurs et leur traitement. Textes européens : Se présentent sous trois formes, directives, règlements, décisions, qui renferment les mesures législatives ou réglementaires, ont la même valeur juridique sans primauté de l'une sur l'autre. Seuls diffèrent les destinataires et le champ impliqué Théorie du bilan : Bilan des avantages et des inconvénients d'un projet Toxicity Exposure Ratio (TER). Le calcul du TER permet de caractériser le risque. Exemple : évaluation du risque pour les organismes aquatiques ; cette évaluation porte sur le calcul du ratio toxicité aiguë / exposition pour le poisson et la daphnie, le calcul du ratio inhibition de croissance / exposition pour les algues, le calcul du ratio toxicité à long terme / exposition pour le poisson et la daphnie. Trésorerie : somme algébrique des disponibilités, valeurs mobilières, placements, des concours bancaires courants, des financements masqués (Dailly ,..). Trou d'ozone : diminution de la concentration d'ozone, diminution de la filtration d'UV, effets sur la végétation et l'homme. Destruction de la couche d'ozone en haute altitude. Les ChloroFluoroCarbone (CFC) contribuent à la destruction de la couche d'ozone. Suppression des CFC. Turbidité : elle peut être réalisée facilement en milieu naturel par l'immersion d'un disque blanc, dès qu'il devient non visible, il suffit de mesurer sa profondeur d'immersion. Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) Unité Touristique Nouvelle (UTN) Valorisation organique. Intérêt environnemental : entretien des sols. Intervention dans les cycles biogéochimiques au niveau des sols (exemple : azote). Valorisation thermique : intérêts environnementaux : substituer de l'énergie renouvelable à de l'énergie fossile, concentrer des pollutions. Techniques : dispositifs spécialisés pour les DIS, dispositifs pour les OM et les DIB. Z1 : Zone définie dans les études de dangers. A partir des scénarios d'accidents, zone à risques correspondant aux premiers décès et aux premières atteintes irréversibles pour l'homme sont définies : zone dans laquelle un accident aurait des conséquences mortelles pour au moins 1 % des personnes présentes. Surpression de 140 mbars : zone d'exclusion. Z2 : Zone définie dans les études de dangers. A partir des scénarios d'accidents, zone à risques correspondant aux premiers décès et aux premières atteintes irréversibles pour l'homme sont définies : zone dans laquelle un accident aurait des effets irréversibles pour la santé ou provoquerait des blessures sérieuses. Surpression de 50 mbars : habitat limité. Zone humide : terrains inondés de manière permanente ou temporaire et caractérisés par la présence de plantes hygrophiles (en général moins de 6 mètres d’eau) ;
Zone Naturelle d'Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique (ZNIEFF) : zone naturelle présentant un intérêt écologique, faunistique ou floristique particulier ayant fait l'objet d'un inventaire scientifique national sous l'autorité du Muséum National d'Histoire Naturelle pour le compte du Ministère de l'Environnement.
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